Depuis le temps que ce blog existe et depuis le temps que je suis sur Twitter, il était temps d’en parler un peu et d’exposer à la face du monde ma philosophie à propos de ce réseau social.

Je suis donc inscrit sur Twitter depuis septembre 2009. Au départ j’avais ouvert un compte sous un pseudonyme, voulant d’abord découvrir la bête avant d’un prendre part pleinement. Mon compte a quelque peu végété jusqu’en octobre 2010 où j’ai commencé à m’y intéresser un peu plus et à y passer plus de temps. En décembre 2010, j’ai créé 365mots.com, blog ouvert sous le pseudonyme de Custin d’Astrée. En effet, ouvrir un blog parlant de business, politique et culture à visage découvert aurait pu me poser problème dans le cadre de mes activités professionnelles (je vous invite d’ailleurs à lire mon billet à ce sujet). C’est à ce moment là que j’ai modifié mon identité Twitter pour qu’elle colle avec ce pseudonyme, et c’est depuis le 30 décembre 2010 que vous me connaissez sous le compte de @custinda.

Il est intéressant de voir l’historique de mes comptes suivis pour se rendre compte que, de fil en aiguille, on en vient à suivre des twittos qui sont assez proches culturellement. Dans ma liste de gens suivis, la grande majorité sont des gens que je suis en retour (follow back). Puis viennent des personnages publics que j’ai suivi spontanément, et enfin des gens que je suis suite à la recommandation d’autres comptes suivi (notamment lors des follow Fridays).

À la différence de Facebook, Twitter n’implique pas de réciprocité automatique. Il n’est donc pas nécessaire d’être suivi pour suivre quelqu’un. Certains considèrent la réciprocité comme la moindre des politesses. Par principe, je suis en retour les gens qui m’ajoutent à leur liste lorsqu’ils ont une activité sur Twitter et que ce sont de vrais gens (pas des comptes commerciaux ou automatiques). Cette politique m’a permis de faire de belles découvertes.

Lorsqu’on débute sur Twitter on devient rapidement submergé par le flux. Au début, je me souviens que j’essayais de lire tous les tweets. Mais passée la centaine de comptes suivis, c’est impossible si on n’est pas sans emploi.

Petit point statistiques : pour information, avec 375 comptes qui me suivent, Twitter m’apporte quotidiennement une trentaine de visites sur ce blog.